Lorsque, arrivé au lycée agricole Ohezo, situé sur l’île d’Hokkaido au nord du Japon, Yûgo Hachiken croit que sa vie sera facile : avec tous ces fils de fermiers incapable de résoudre deux équations, devenir premier de la classe sera une partie de plaisir ! Mais c’était sans compter les cours d’élevage, de sciences de la nutrition, de gestion agricole et les clubs de sport épuisants… Comment va-t-il faire pour survivre dans cette galère ?!

Silver Spoon est un manga d’Hiromu Arakawa (FullMetal Alchemist, Hero Tales…) publié au Japon dans le Weekly Shonen Sunday et édité en France aux éditions Kurokawa.

YUGO HACHIKEN

Yûgo Hachiken est un lycéen tout juste sorti d’un prestigieux à Tokyo venu à Ohezo pour être sur de devenir le premier de la classe. Il n’est pas très sportif mais est gentil et fait tout ce qu’on lui demande de faire. Il fait parti du club d’équitation.

Yûgo est un personnage très simple et très attachant auquel on peut s’identifier facilement. Son ignorance de la ferme est source de nombreuses situations comique ou de quiproquos.

AKI MIKAGE

Aki est la première amie que s’est faite Yûgo à Ohezo. Elle est très gentille ,est passionnée par les chevaux et compte reprendre la ferme de ses parent à la fin de sa scolarité. Elle fait partie du club d’équitation.

Tout comme Yûgo, c’est un personnage très sommaire mais que l’on apprécie par sa gentillesse et sa naïveté.

Hiromu Arakawa change totalement de registre avec Silver Spoon : ne vous attendez pas donc à un autre FullMetal Alchemist, bien que Silver Spoon reste un shonen, on se rapproche plus d’un manga de style slice of life, voire un gag manga, plutôt qu’une gentille histoire d’heroïc-fantaisy à la Hero Tales.

L’histoire part d’un point très simple ; un élève tokyoïte qui se retrouve dans un lycée paumé en pleine campagne. Pourtant l’auteur réussit à y rajouter quelques passages dignes d’un shonen à la Naruto, des scènes tristes ou émouvantes, des discours sérieux, mais surtout, pleins de partie comique qui vous feront rires aux éclats ou vous arracherons un sourire. Petite remarque amusante : au Japon, après la sortie du premier volume, le pourcentage de nombres d’entrées dans les collèges agricoles à considérablement augmenté ! En effet, la situation de Yûgo est celle de nombreux d’autres élèves au Japon et Hiromu Arakawa présente les lycée agricoles comme une option très agréables.

On retrouve le trait caractéristique d’Hiromu Arakawa : des personnages expressifs et reconnaissables au premier coup d’œil. Son dessin fait aussi merveille lorsqu’il s’agit de dessiner les animaux, que ce soit les chevaux, les vaches ou les cochons, et arrive à leur donner des expressions et à les rendre attachants.

Que vous ayez 15, 20 ou 30 ans, n’hésitez pas à vous jeter sur cet excellent manga! Bourré d’humour, des personnages sympathiques et quelques leçons de vie, Silver Spoon ne pourra que vous plaire. Un des shonens indispensables de l’année 2013 !

Hello Sleepwalkers est un groupe de J-rock fondé en 2011. On y retouve, au chant et à la guitare, Shuntaro et Narumi, à la guitare, Tasoko, à la basse Makoto et à la batterie Yuki. Le groupe signe l’opening de l’anime Noragami, Goya No Machiawase. Hello Sleepwalkers a sorti à ce jour deux CDs, Majiru Yoru : Nemurasenai Wakusei, et Masked Monkey Awakening. Pour ceux que ça intéresse, le nom signifie "Bonjour Somnambules en anglais.

J’ai découvert ce groupe grâce à, comme beaucoup d’autres personnes, l’opening de Noragami, et je suis devenue une grande fan de ce groupe, qui est désormais un de mes favoris. Leurs musiques sont entrainantes et vraiment très belles, et les deux vocalistes ont des voix magnifiques qui vont bien ensemble. Je suis juste un peu déçue que les trois autres membres du groupes soit mis autant en retrait ; il n’apparaissent pas vraiment dans les clips et jamais on n’entends parler d’eux.

Les clips, quant à eux, sont sympathique sans pour autant être très marquants, on filme juste le groupe dans décors différents ; c’est sympa graphiquement mais beaucoup moins original et séduisant qu’un clip de SuG ou de The Gazette par exemple.

Mes musiques favorites sont Saru wa ki Kara Doko e Ochiru, Goya No Machiawase et Bloody Mary (vous ne la trouverez malheureusement pas sur YouTube, elle est disponible seulement sur leur second album, Masked Monkey Awakening), et vous ? J’aime bien aussi Comic Relief (la même chos que pour Bloody Mary).

Si vous aimez le J-rock, ce groupe est fait pour vous ! Leurs musiques sont rythmées et percutantes, un de mes groupes préférés !

Mikado Ryugamine est un jeune lycéen qui vient de partir de sa campagne pour rejoindre la capitale, Tokyo. Il se retrouve rapidement plongé dans les guerres de gang du quartier d’Ikebukuro et plus particulièrement impliqué dans la légende urbaine du motard sans tête…

DURARARA !! est un anime produit par le studio BRAIN BASE et diffusé du 8 janvier 2010 au 25 juin

MIKADO RYUGAMINE (Toyonaga Toshiyuki)

Ryugamine est un adolescent qui a quitté sa campagne pour venir rejoindre son ami Masaomi Kida à Tokyo, et y rencontre Anri Sonohara, dont il tombe amoureux. Il se retrouve impliqué dans les guerres de gang et les légendes urbaines.

Le personnage de Mikado est très neutre, on peut facilement s’identifier à lui, même si je pense qu’il manque un peu de caractères lors des premiers épisodes. Il reste tout de même un personnage sympathique, bien que trop simple à mon goût, que ce soit au niveau de son caractère que de son chara-design.

MASAOMI KIDA (Miyano Mamoru)

Masaomi est le meilleur ami de Ryugamine. C’est lui qui l’a invité à le rejoindre à Tokyo. Il aime bien draguer les filles, et tombe lui aussi amoureux de Sonohara. Il est très protecteur envers Mikado, car il ne veut pas qu’il reproduise les mêmes erreurs que les siennes.

Tout comme Mikado, je trouve son personnage quelque peu inintéressant lors des premiers épisodes puis de plus en plus complexe vers la moitié de l’anime. Cette évolution est très plaisante à suivre, alors, ne vous fiez pas à la première impression qu’il vous donne.

SONOHARA ANRI (Hanazawa Kana)

Sonohara Anri est une camarade de classe de Mikado et Masaomi. Au départ distante avec eux, elle se rapproche du duo au fur et à mesure. Elle est plutôt populaire chez les garçons, et se fait même harceler par un de ses professeurs.

Comme le duo Mikado-Masaomi, son personnage s’affine au fil des épisodes, et son passé se dévoile. Elle reste malgré tout un personnage attachant du début jusqu’à la fin ; et puis son chara-design est vraiment très réussi à mon goût.

IZAYA ORIHARA (Hiroshi Kamiya)

Izaya est, avec Shizuo qu’il déteste, une des deux personnes qu’il faut éviter à Ikebukuro. On ne sait pas grand-chose sur lui, juste qu’il dit « aimer les humains »

Impossible de rester objective en parlant d’Izaya, vu que je suis une très, très, trèèèès grande fangirl. Bref, il est beau gosse, intelligent, parfait et sexy. Pour moi, le personnage le plus charismatique de Durarara !!, et de loin.

SHIZUO HEIWAJIMA (Ono Daisuke)

Shizuo est l’ennemi juré d’Izaya. Il est très fort, et s’habille toujours avec le costume de barman que lui a offert son petit frère. Il est en très bon termes avec Selty.

Un personnage que j’apprécie beaucoup. Il est original, drôle, et fait du yaoi avec Izaya. Un de mes personnages favoris en tout cas, le duo qu’il forme avec Izaya est super, et chacune de ses apparitions sont sensationnelles. Son chara-design est lui aussi très réussi.

SELTY STURLUSON (Sawashiro Miyuki)

Aussi connue sous le nom du "motard sans tête", Selty est une dullahan originaire d'Irlande qui est venue s'installer au Japon pour rechercher sa tête. Elle vit et est en couple avec Shinra Kishitani.

Un de mes personnages favoris, Selty change de toute les filles mignonnes et kawaii que l’on peut croiser dans d’autres animes ; le fait que l’on ne voit que son corps change de d’habitude, et elle parvient à nous séduire avec juste son caractère de tsundere adorable.

KISHITANI SHINRA (Fukuyama Jun)

Shinra travaille comme médecin dans la ville, sans licence. Il soigne des gens blessés par des armes illégales et pratique de la chirurgie esthétique sur ceux qui ont besoin de changer de visage. Il vit et est en couple avec Selty Sturluson.

Un personnage sympathique mais trop simple pour moi. Il n’a pas grand-chose à dire sur lui, à part qu’il forme un couple vraiment adorable avec Selty.

DURARARA !! est un anime qui se démarque des autres par ses nombreuses qualités du point de vue du scénario, des personnages, des musiques et de l’animation.

L’histoire tout d’abord : tout comme les personnages, elle évolue au fil des épisodes, partant d’une situation simple –un étudiant débarquant à Tokyo-, à un enchainement d’événements énigmatiques –conflits entre gang, légendes urbaines et assassinats-, qui parviennent à nous tenir en haleine jusqu’au dernier épisode.

Les protagonistes, eux, sont attachants et charismatiques –en particulier un duo que vous connaissez bien- : ne vous fiez pas à leurs première apparition où ils peuvent paraître trop simples, mais attendez quelques épisodes que leurs caractères s’affirment et deviennent de plus en plus intéressant. Dommage que certains personnages soient mis en retrait et n’apparaissent que durant quatre ou cinq épisodes avant de ne faire que de courtes apparitions lors des épisodes suivants ; je pense notamment à Yagiri Namie et au père de Shinra.

Les génériques sont entrainants et correspondent bien à l’univers de la série ; j’apprécie surtout les seconds opening et ending. En revanche, selon moi, les OST se font plus discrètes et moins marquantes. Un peu déçue sur ce point là.

L’animation quand à elle est plutôt fluide malgré quelques plans fixe qui en dérangerons certains, mais rien d’important de ce point de vue. Par contre, la manière dont les scènes sont « tournées » peut gêner au début : en effet, il s’agit principalement de plans sur un personnage avec une voix off qui décrit la situation. Mais au bout de quelques épisodes, on s’y habitue et cela devient même un atout pour l’anime.

DURARARA !! est un de mes animes préférés à ce jour, voire mon préféré. L’histoire est entrainante, les personnages charismatiques, l’animation réussie… Un vrai petit bijou, à voir d’urgence si ce n’est pas déjà fait !

   Nao Kanzaki (Erika Toda) est une jeune femme honnête qui un beau jour reçoit la somme d'1 million de dollars accompagnée d'une carte qui lui dit qu'elle a été choisie pour prendre part à un jeu, le "Liar Game" (jeu du menteur). Les règles sont simples. Il faut tout faire pour escroquer les autres participants et récupérer leur million de dollars. A la fin du jeu, le gagnant garde les 100 millions de dollars et le perdant a une dette de 100 million de dollars. Nao Kanzaki se rend compte alors que son adversaire est son ancien professeur. Naïve, elle lui fait confiance ; il arrive facilement à la tromper et à lui voler ses 100 millions de dollars.                                                 Suite à ça, la police lui dit qu'elle ne peut rien pour elle, et l'oriente vers un ancien escroc, un certain Akiyama Shinichi (Shota Matsuda), en lui disant qu'il va bientôt sortir de prison et qu'il est le seul à pouvoir l'aider. Elle décide de le contacter pour qu'il lui vienne en aide... le jeu ne fait que commencer...

LIAR GAME est un drama tiré du manga de Kaitani Shinobu du même nom (édité en France chez Tonkam). Il a été diffusé sur la chaîne Fuji TV du 14 avril au 23 juin 2007.

NAO KANZAKI (Erika Toda)

Nao Kanzaki est une jeune femme si honnête que l’on en dit qu’elle presque idiote. Elle a été roulé par son adversaire lors de la première manche du Liar Game, et a fait appel à Shinichi Akiyama, un escroc de génie pour l’aider.

Je dois avouer que parfois, j’ai vraiment envie de la baffer tant elle est naïve, et useless  à certains moment. Pourtant impossible de la détester. Son caractère s’affine et évolue tellement au cours des épisodes, c’est vraiment intéressant de voir comment elle réagit face aux événements, notamment lors de la manche de résurrection où elle montre sa vision des choses. Elle compense parfaitement l’absence de pitié d’Akiyama, pour former un duo parfait. En plus, elle est jouée, et bien jouée, par une de mes actrices favorites.

SHINICHI AKIYAMA (Shota Matsuda)

Shinichi Akiyama est un escroc surdoué. Tout juste sorti de prison, Nao lui demande son aide pour la sortir du Liar Game. Son innocence lui rappelant sa mère décédée, il accepte et l’accompagne lors des différentes manches.

Beau, intelligent, ténébreux, il a tout pour plaire. Personnellement je l’aime bien, mais le rôle du beau gosse mystérieux est tellement vu et revu dans les dramas et les mangas qu’on fini par s’en lasser… Akiyama ne renouvelle pas le genre, pour moi son personnage n’est pas assez original.

FUKUNAGA YUJI (Suzuki Kosuke)

[SPOILER] Fukunaga Yuji (alias Kinoko, champignon) a voulu tromper Akiyama, Nao et les autres joueurs du Liar Game, mais sa tentative fut stoppée à temps par Akiyama et il continue donc de participer au jeu. Il est intelligent, moqueur, et trahit ses alliés à de nombreuses reprises.

Mon personnage favori, et de loin. Son caractère délirant est super bien retranscrit par le jeu de Suzuki Kosuke, et son chara-design loufoque est très réussi. Il apporte une touche d’humour et de fourberie dans l’univers sombre de Liar Game, et ce n’est pas de refus.

YOKOYA NORIHIKO (Suzuki Kazuma)

[SPOILER] Yokoya Norihiko apparaît lors de la troisième manche du Liar Game. Il est très mystérieux et intelligent, mais finalement se fait battre par Akiyama et trahir par Fukunaga. On apprend aussi que c’est lui qui a poussé au suicide la mère d’Akiyama.

Un personnage très intéressant : il est sans pitié envers ses adversaires, et ressemble à Akiyama en gardant tout le temps son calme, sauf lorsqu’il se fait battre où il est totalement abattu (normal, avec une dette de 100 millions). En revanche je trouve son chara-design absolument affreux : on dirait Shinobu de Mei-Chan no Shitsuji, en cent fois moins bien.

LIAR GAME est un des meilleurs dramas que j’ai vu à ce jour. L’histoire est vraiment prenante : chaque round est plus passionnant l’un que l’autre, bien que mon préféré soit le deuxième, et les plans d’Akiyama et de Fukunaga pour gagner le jeux sont toujours bien trouvées et logique à un point que l’on ne se demande pourquoi on ne n’y avait pas pensé plus tôt ; on parvient à bien s’identifier au personnage principal lorsque l’on est complètement paumé quand Akiyama nous sors un de ses combos « Il y a moyen d’être sur à 100% de gagner ce jeu… »+sourire de beau gosse… En plus, chaque plan est très bien expliqué grâces aux différentes mise en scène, même moi qui n’a que trois neurones peut les comprendre…

Pour détendre l’atmosphère, les réalisateurs arrivent toujours à caser quelques scènes amusantes entre deux révélations, mais rien que les tics et les manières de certains personnages arrivent à nous détendre et à nous faire sourire de temps en temps. Esthétiquement, LIAR GAME est aussi surprenant : les lieux où se déroule chaque manche, mise à part la première, sont très spéciaux, et arrivent à nous mettre dans une ambiance assez étrange, qui sépare en quelque sorte le monde réel et le « monde du LIAR GAME » , de même que les musiques, prenantes, qui augmentent le suspens et la tension à chaque épisode.

Autre point fort de LIAR GAME : les acteurs sont vraiment, vraiment doués. Je pense surtout à Toda Erika et à Suzuki Kosuke qui sont pour moi ceux qui jouent le mieux, bien que Shota Matsuda et Suzuki Kazuma réalisent eux aussi d’excellentes performances. Même chose pour tous les personnages secondaires, bien qu’ils n’apparaissent pas souvent, ils arrivent à marquer suffisamment les esprits pour que l’on s’en souvienne par leur physique et leurs manières (les prénoms japonais sont trop compliqués à retenir pour moi et mes trois neurones).

Si vous n’avez pas encore vu LIAR GAME, foncez ! Cet anime est excellent sous tout les point, que ce soit au niveau du scénario, des acteurs ou du graphisme. Seul bémol : le dernier épisode de trois heures, un peu beaucoup trop long à mon goût. Mais un si petit défaut ne gâche pas un si bon drama. A ne pas manquer!